Les légumineuses : l’alimentation protectrice pour votre santé et votre forme physique.

Il est scientifiquement prouvé que les légumineuses ont des qualités anti-oxydantes qui protègent votre corps des radicaux libres. Ces derniers sont responsables du vieillissement prématuré de nos cellules et contribuent à l’apparition de maladies chroniques. Les légumineuses sont également riches en protéines, ce qui en fait un aliment idéal pour la musculation et le maintien de la masse musculaire.

Les légumineuses, vous protégeront contre les maux du corps :

  1. Ce sont des boucliers végétaux contre l’oxydation, l’inflammation et la glycation de votre corps.
  2. Les protéines végétales (légumineuses, céréales et noix) augmentent la longévité et réduisent le risque de plusieurs maladies chronique (cancers, Alzheimer, maladies cardiovasculaires…).
  3. Elles sont une vraie solution contre les carences nutritionnelles qui concernent la majeure partie de la population car elles concentrent dans leur graines toute une gamme de nutriments : des protéines, beaucoup de fibres, des vitamines dont la vitamine B9 (folates), du magnésium, du potassium, du calcium, du fer, du zinc, des antioxydants et aussi des phytoœstrogènes, molécules à la fois anti-cancers hormono-dépendants (sein et prostate) et favorables à la santé osseuse.
  4. Elles ont un faible taux de graisses, pas de cholestérol et de bons glucides (IMG bas). Elles ont aussi l’avantages d’être adaptées aux personnes cœliaques et à celles sensibles au gluten. De plus, les légumineuses sont une source de protéines à l’impact très positif sur la santé : 100 g de légumineuses apportent autant de protéines que 100 g de viandes ou de poisson, sans apporter de graisses saturées, dont l’excès bouche vos artères. Manger des légumineuses, c’est se faire du bien tout en luttant contre le changement climatique. Les légumineuses n’ont pas besoin d’engrais car elles captent l’azote et rendent les terres plus fertiles.
    De plus, la quantité d’eau nécessaire à la culture des légumineuses est très inférieur à celle nécessaire à l’obtention d’une même quantité de protéines animales.

La production d’un kilo de viande de bœuf nécessite 10 fois plus d’eau que la production d’un kilo de lentilles.